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Témoignages:
L’important est de parler de l’enfant hospitalisé, que la fratrie puisse lui envoyer des messages, et de montrer aux frères et sœurs des photos de l’hôpital ou de la chambre.
"La Maison de Parents favorise le rapprochement entre parents pour discuter et partager les difficultés qu’ils peuvent rencontrer."
C’est toute une vie qui est remise en question lorsque l’on se retrouve contraint de vivre loin de chez soi, dans une autre maison avec un enfant à l’hôpital.
Les études scientifiques sont très explicites. On sait que les malades qui sont aidés par leur figure d'attachement, qui est très réconfortante, ont des chances de guérison majorées. Il est donc majeur de prendre soin de soi quand son enfant est hospitalisé pour lui offrir de meilleures chances de guérison. Pour y parvenir, l’organisation de son temps va être essentielle.
Les parents et la fratrie de l’enfant hospitalisé [...] doivent trouver de nouveaux modes de fonctionnement, pour que chacun puisse continuer à grandir et s’épanouir.
Il y a 10 ans, je ne me rendais pas compte de l’impact de la maladie sur la famille. Le monde hospitalier était un monde totalement inconnu pour moi, et je peux dire aujourd’hui, en ayant vu l’implication des équipes de l’hôpital d’Arras et de la Parenthèse, qu’elles font un travail formidable de soutien et de prendre soin. Elles sont professionnelles et je salue l’engagement et l’empathie dont elles font preuve quotidiennement.
Mon rôle est d’œuvrer avec la présidente et l’équipe pour atteindre nos objectifs : fédérer toujours plus autour de la cause (...), travailler à l’ouverture de 2 nouvelles structures d’ici à 2030 et continuer à faire connaître les actions portées par la Fondation.
Prendre soin des familles, c’est essayer de faire le maximum pour les accompagner lorsqu’elles traversent des situations difficiles. Dans mon quotidien de chef d’entreprise, c’est répondre aux besoins de mes collaborateurs. Et c’est profiter de chaque rencontre pour parler de l’action de la Fondation à mes équipes, mes partenaires et interlocuteurs locaux.
Il m'était apparu évident que la mise à disposition des parents et de la fratrie de structures d'accueil « comme à la maison » à proximité immédiate de l’hôpital était un atout majeur qui ne pouvait que se répercuter positivement sur leur soutien à leur enfant malade.
Faire qu’aucun enfant hospitalisé ne soit privé de sa famille, tout en relevant les défis liés à la parentalité auxquels la société et le monde sont confrontés, notamment dans un contexte socio-économique complexe.
Notre priorité reste toujours l’accueil des familles et le souci de répondre à leurs besoins dans la mesure du possible. Tout cela contribue au bien-être des familles qui, malgré l’inquiétude et l’angoisse face à la maladie de leur enfant, arrivent à rire et à sourire.
La présence des parents est essentielle auprès de leur enfant afin de le rassurer, réconforter, lui apporter des explications en lien avec sa santé adaptée à son vocabulaire. Les parents connaissent leur enfant, ses habitudes, ses réactions. Ils sont des acteurs essentiels entre l’enfant et les soignants.
Le bénévolat m’apporte une espèce de bien être intérieur. Les parents sont des personnes qui ont besoin de soutien et je peux leur apporter un moment de bien être, de partage et de confidence, parler des enfants.
J’ai accepté naturellement d’être la Marraine de la Maison des Sourires car ça me tient à cœur. C'est un endroit rempli d’amour, les familles qui y viennent vivent toujours quelque chose de très difficile. Cet endroit est un véritable arc-en-ciel au milieu de jours compliqués ! L'équipe et les bénévoles font un travail exceptionnel, je ne suis pas seulement heureuse d’être la Marraine de cette magnifique Maison, j’en suis honorée !
Ici tout est pensé pour panser et adoucir nos douleurs d'âme…jusqu'à la pensée du jour ! On peut parler de "nid" car on retrouve les repères de nos "chez nous" et tout y est irréprochable. Je tire mon chapeau et je remercie au nom de toute la famille d'Andy qui a eu le réconfort de me savoir bien, comme si un relais était passé. Ici des sourires, des mots apaisants, un soutien, de l'aide, de la générosité de cœur... Merci du fond de mon cœur.
Tout a commencé avec un coup de téléphone de Virginie, la directrice, pour me parler du McDéfi ; un diner gastronomique cuisiné à base de produits 100 % McDonald’s, en vue de levée des fonds pour la Maison Tout de suite, l’idée m’a plu et en une demi-heure, j’avais dit oui ! Un beau défi à relever mais aussi le début d’une belle aventure. Selon moi, être parrain, c’est avant tout, donner aux familles, en leur offrant un moment, d’évasion, de partage et d’émotion ...
Lorsque le Président de l’association et la directrice sont venus me rencontrer pour me proposer de devenir le parrain de la Maison de Strasbourg, mon premier sentiment a été un sentiment de fierté. J’étais sollicité, non pas pour représenter l’image d’un joueur professionnel à qui l’on porte bien souvent une importance démesurée, mais pour faire partie de cette famille. Une famille unie qui dépasse le cadre du sens normal de la vie.
Le projet des Maisons de parents porté par la Fondation Ronald McDonald s'inscrit pleinement dans nos valeurs. Depuis 2007, nous avons bâti un partenariat solide qui repose sur trois niveaux d'engagement : opérationnel, humain et financier. Notre démarche s’inscrit dans la durée et nous serons aussi aux côtés de la future Maison à Paris.